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Formation à Paris le 6 avril 2016

Répondant aux demandes de formation, d’information, de conférences, je ferai ce mercredi 6 avril 2016 une animation sur le geste d’écriture au Centre culturel d’Athénée de Rueil Malmaison.

Vous êtes enseignant-e en maternelle ? Je vous y accueillerai avec grand plaisir.  Nous travaillerons ensemble pendant quatre heures sur les questions que vous vous posez au quotidien sur la façon d’apprendre à écrire aux enfants.

Informations et bulletin d’inscription ci-dessous en PDF. Le bulletin est à retourner à Stéphanie Leprêtre qui assure l’intendance avec efficacité. Je la remercie chaleureusement.

2016_04_06_inscription-formation-Danièle-Dumont-Rueil-Malmaison

Le planning des formations définitivement programmées se trouvent ici . D’autres sont en cours de finalisation ou en projet, notamment le 25 mai à Carcassonne.

Par |2019-02-22T16:40:19+01:0028 février 2016|1 Commentaire

Les parents doivent-ils assister aux séances de rééducation ?

Lorsqu’on porte sur la question une réflexion superficielle et/ou de néophyte, il est tentant de penser que la présence des parents au côté de leur enfant pendant les séances de rééducation est une bonne chose. Voilà bien là une démarche démagogique propre à faire plaisir aux parents, à gratifier leur egomais dans la majorité des cas, à être préjudiciable à l’enfant.

C’est bien, en effet, parce que la rééducation de l’écriture ne saurait se satisfaire d’amateurisme et de simplisme, que les séances de rééducation se font en tête à tête, en dehors de la présence des parents.

* La relation duelle rassérène l’enfant qui pourrait se sentir jugé par le regard des parents. Bien qu’il parte généralement d’un bon sentiment, ce regard ponctue trop souvent chaque réussite d’un “tu vois quand tu veux”, sous-entendu que je serais tentée de qualifier de “mortel”. Comment progresser quand on a le sentiment que l’accompagnateur pense qu’on fait exprès de ne pas réussir ?

* En outre, la présence d’un parent décentre l’attention. La relation n’est plus duelle mais tripartite : même s’il reste silencieux, le parent intervient par son regard porté sur l’action de l’enfant, par des échanges de regards avec le rééducateur, par des échanges de regards avec l’enfant, par le rythme de sa respiration avec des soupirs, discrets ou non, au rythme de sa satisfaction ou de sa déconvenue.

* Cette relation tripartite empêche l’enfant d’accéder vraiment aux références, aux repères nouveaux que lui offre le contexte de la rééducation. C’est pourtant grâce à des repères non parentaux que l’enfant peut continuer à se construire. Ceux-ci sont d’autant plus profitables qu’ils touchent à l’un des fondements de l’enseignement et au langage écrit indispensable dans nos civilisations, même avec l’omniprésence du numérique.

* La présence d’un parent le rend acteur direct de la mise au point de la rééducation dont il ignore tout des fondements et du fonctionnement : il risquera d’interférer avec des questions, certes légitimes, mais susceptibles de perturber le bon fonctionnement de la séance par exemple en amenant à verbaliser une action qui, pour être d’une efficacité optimum, devrait rester dans le registre du procédural c’est à dire de l’action.

– Faire participer le parent aux séances de rééducation, c’est nier en partie l’enfant en tant que sujet et l’amener à une fonction d’objet face à “des grands” dont l’entente ou les contradictions valident cette position d’objet.

– Faire participer le parent aux séances de rééducation, c’est ignorer l’existence d’une communication non verbale et le poids psychologique dont elle peut peser.

– Faire participer le parent aux séances de rééducation, c’est ignorer le mode de construction de la personnalité et le rôle de la diversité raisonnée des repères.

– Faire participer le parent aux séances de rééducation, c’est faire fi de la nécessité de comprendre le geste d’écriture et son fonctionnement et transformer une pratique raisonnée, car adaptée à chaque cas, en l’application de recettes dont l’exposé viserait surtout à gratifier l’égo du rééducateur et transformerait la séance en une démarche démagogique.

En conséquence, sauf exception, pour le rééducateur qui applique avec professionnalisme la méthode Danièle Dumont, ce n’est qu’une fois que seront bien établis les exercices à faire entre les séances que le ou les parents accompagnateurs prendra/prendront connaissance des exercices à faire. A ce moment-là, l’enfant montrera ce qu’il sait faire ; les parents mesureront alors la différence entre les résultats avant la séance et les résultats en fin de séance et seront enclins à féliciter l’enfant. Combien de fois ai-je entendu la réflexion émerveillée “c’est toi qui a fait ça mon chéri !?” suivie d’un énorme bisou en récompense. En acceptant le parent à la séance, on prive aussi enfant et parent de cet instant de bonheur décisif car incitatif à poursuivre les efforts.

A la fin de la séance, guidés par l’enfant – qui s’en fera une fierté – les parents pourront essayer eux-mêmes les exercices à faire au quotidien et échanger avec le rééducateur pour comprendre afin d’accompagner au mieux l’enfant dans la réalisation de ces exercices à faire à la maison entre les séances. L’enfant n’aura pas subi le stress du regard parental au cours de ses essais et tâtonnements. Si la mise au point a été délicate, le parent n’aura pas eu l’inquiétude de se dire “il ne va pas y arriver”. Parent et enfant y gagneront en sérénité. La rééducation y gagnera en efficacité.

Bien sûr, il est des cas où, au contraire, la présence d’un parent est souhaitable. Le professionnel compétent sait les repérer, et, loin d’être dans une démarche démagogique, c’est un raisonnement professionnel étayé qui dans certains cas, mais dans certains cas seulement, le conduit à adopter cette pratique.

Pour des exemples de rééducation graphique, c’est ici. Pour des informations sur la formation c’est ici, pour les préinscriptions à la session 2018/2019, c’est là.  Et pour trouver un rééducateur / une rééducatrice méthode Dumont, c’est ici.

Par |2020-03-23T11:01:46+01:001 février 2016|2 Commentaires

Des exemples de rééducation

La rééducation de l’écriture demande une observation attentive des anomalies de l’écriture afin d’en cerner l’origine.

Pour une rééducation de l’écriture selon la méthode Danièle Dumont, il faut compter 4 à 6 séances en moyenne, entrecoupées d’exercices quotidiens de plus ou moins 1/4 d’heure.  En peu de mois de rééducation graphique, les résultats sont au rendez-vous. Ce fut le cas pour Victor, enfant dysgraphique qui, aux dires de l’équipe médicoscolaire, était condamné à ne jamais pouvoir écrire :

Victor ne pourra jamais écrire !

et pour d’autres ,  et d’autres encore

La rééducation de l’écriture améliore l’écriture, c’est son but. En même temps, en renvoyant au scripteur* une image positive par l’aspect de son écriture, par le constat de ses possibilités,  en lui donnant un geste graphique délié par lequel il peut s’exprimer sans contrainte physiologique,  elle restaure la confiance en soi.

* Le scripteur est celui qui écrit.

Elle concerne tout type de difficultés d’écriture.

Par |2019-02-22T16:27:55+01:001 février 2016|13 Commentaires

Nouvelle édition du Geste d’écriture

Le Geste d’Écriture ● Méthode d’apprentissage cycles 1-2 Différenciation et Transversalité

 LA NOUVELLE ÉDITION du geste d’écriture va paraître prochainement. C’est avec plaisir que j’ai constaté à quel point elle s’inscrit dans la droite ligne de l’esprit du nouveau programme de l’école maternelle.  Certes, elle a pris du retard mais la publication est en cours. (Elle ne sera cependant pas dans votre soulier le jour de Noël, j’en suis  véritablement désolée. 

Le nouveau programme de l’Education nationale affirme l’ambition de l’école maternelle d’être une étape essentielle pour garantir la réussite de tous.

Dans son domaine, cette nouvelle édition du Geste d’écriture a pour ambition de donner aux enseignants un outil de terrain qui les accompagnera dans leurs efforts pour mettre tous les enfants sur le chemin de la réussite pour la suite de leurs parcours, notamment en mettant tout en œuvre pour élever le niveau de tous les élèves et réduire les inégalités qui tendraient à se profiler dès le plus jeune âge en matière d’écriture.

Je souhaite qu’avec cette nouvelle édition Le geste d’écriture soit plus que jamais à la fois un ouvrage de référence et un outil pour la pratique quotidienne. S’intégrant au jeu, l’apprentissage en transversalité évite l’écueil de l’élémentarisation de l’école maternelle. Assorti d’une prise en compte des besoins de chacun par une différenciation structurée, il fait participer à un même projet chaque enfant de la classe quel que soit son niveau, chacun en tirant un enseignement en fonction de ses propres besoins liés à sa propre évolution. Tout au long de l’ouvrage des exemples de pratiques de classe illustrent l’acquisition des compétences en différenciation et en transversalité sur divers thèmes. Par ailleurs, les rubriques ‘’Pour une bonne mise en pratique’’ sont conservées et complétées d’une réflexion sur les pratiques toxiques.

La schématisation du système d’écriture, la présentation du processus de création des formes de l’écriture cursive minuscule (en tout et pour tout 2 formes de base, avec 2 dérivées chacune, plus 1 dérivée secondaire) et du processus de formation des lettres facilitent la compréhension du fonctionnement de l’écriture et de la mise en œuvre de la méthode.

Par |2019-02-20T20:46:58+01:002 décembre 2015|4 Commentaires

Doit-on utiliser le métalangage pour expliquer la formation des lettres aux enfants ?

Une enseignante me pose la question suivante :

Je suis enseignante en grande section. J’ai acheté il y a quelques années deux de vos ouvrages « le geste d’écriture » et le premier cahier d’écriture (ancienne édition malheureusement). J’ai assisté à votre conférence à Evreux mercredi 30 septembre dernier. Cela m’a beaucoup éclairé et j’ai entrepris de revoir complètement ma façon d’aborder l’apprentissage de l’écriture cursive. Toutefois, je m’interroge : doit-on apprendre aux élèves les termes « étrécie, jambage bouclé… » et les employer pour verbaliser la formation des lettres lorsqu’ils écrivent un mot ? Je sais que l’écriture doit produire du sens et qu’il est de ce fait inutile de leur faire écrire des lignes de lettres ou enchaîner les fiches de graphismes ou même indiquer le sens des tracés. Mais comment alors, prendre appui sur les formes de bases et ses dérivées sans leur expliquer qu’un « a » par exemple est formé d’un rond et d’une étrécie ?

Merci par avance pour vos précisions et également pour tous vos travaux qui constituent de véritables outils pour nous aider à faire progresser nos élèves.

Ma réponse à cette question pédagogiquement fondamentale
Merci pour votre message.
« Doit-on apprendre aux élèves les termes « étrécie, jambage bouclé… » et les employer pour verbaliser la formation des lettres lorsqu’ils écrivent un mot ? » me demandez-vous.
Doit-on apprendre aux élèves les termes « étrécie, jambage bouclé… » ? Oui. c’est le nom des formes qui servent à construire les lettres. Si les enfants connaissent ces formes, ils les verront dans les lettres ; s’ils apprennent comment est constituée chaque lettre ils sauront l’identifier dans les mots.
En revanche les employer pour verbaliser la formation des lettres lorsqu’ils écrivent un mot ? Non. Comme vous l’écrivez ensuite, l’écriture doit produire du sens. Donc si je décris la formation des lettres quand j’écris, c’est à dire si je dis « une grande boucle, une petite boucle, une grande boucle, une petite étrécie, une grande étrécie » lorsque j’écris, je ne peux pas penser en même temps ce que j’écris.
Si je verbalise la formation des lettres, je dis « je pars de…, je monte jusqu’à…, je tourne de tel côté etc. » alors non seulement j’évacue le sens de l’écrit, mais j’évacue aussi la compréhension de la formation des lettres. (cf. Oraliser, verbaliser, nommer )

La question est : « comment alors, prendre appui sur les formes de bases et leurs dérivées sans leur expliquer qu’un « a » par exemple est formé d’un rond et d’une étrécie ? » Lorsqu’on leur apprend la formation de chaque lettre on l’explique aux enfants : ainsi la lettre »a » est effectivement formée d’un rond fermé par une petite étrécie. Il me semble important que l’enfant ne confonde pas la lettre et la ou les formes constitutives de la lettre.
Ensuite, une fois que la lettre est intégrée dans un mot, c’est le mot qui prime, donc le sens qu’il véhicule et que véhicule le discours entier (phrase ou texte)
Le poster du processus de formation des lettres montre comment prendre appui sur les formes de base et leurs dérivées pour construire les lettres. Je vous suggère de l’utiliser en utilisant des caches que vous découvrirez progressivement.

Par |2020-03-23T11:02:47+01:0012 octobre 2015|2 Commentaires

Durée d’une rééducation graphique

Mes articles n’arrivent sur le site qu’au compte-goutte. J’en suis désolée pour les internautes qui en souhaiteraient plus. Toutefois c’est plutôt bon signe, cela signifie que j’ai aussi beaucoup à faire pour nos enfants et pour leurs enseignants.  Je suis désolée aussi de ne pas encore avoir eu le temps de remettre en état chaque page ni chaque article suite aux incidents fâcheux qui ont malmené le site.

Je voulais tout de même réagir à un bref écho que je viens d’avoir, là, ce matin, de plusieurs sources, d’une info qui a fait frémir les rééducatrice qui utilisent ma méthode : il faudrait plus d’un an pour rééduquer des difficultés d’écriture !

Peut-être aurais-je été mal informée. Je me dis toutefois que si cette information m’a été transmise ainsi, d’autres ont pu la recevoir de la même façon.

Je tiens donc à rassurer les parents, les enfants surtout d’ailleurs, (car si les parents sont inquiets, ce sont bien les enfants eux-mêmes, malhabiles à manier leur crayon, qui ressentent l’angoisse dès qu’il s’agit d’écrire) et  rassurer aussi les adultes qui veulent résoudre leurs propres problèmes d’écriture : une rééducation graphique demande 4 à 6 séances en moyenne hors cas pathologique grave traité alors par un/e rééducateur/trice en écriture ergothérapeute ou un/e rééducateur/trice  en écriture psychomotricien/ne  selon les besoins.

S’il existe des cahiers de rééducation, il faut être conscient qu’ils ne résolvent que les cas de difficultés légères (et ils sont nombreux) ou qu’ils viennent en accompagnement de rééducations pratiqués par des professionnels.

L’une des rééducations les plus courantes concerne la tenue et le maniement du crayon. En principe c’est une séance pour mettre la main, les doigts, le bras dans la bonne position. Le temps nécessaire pour qu’ensuite la position soit vraiment installée varie selon les personnes : une séance de plus ou  deux, ou trois, voire plus…

Les causes de ces rééducations peuvent être multiples : un mauvais positionnement lors de l’apprentissage ou suite à une opération, une difficulté à réenclencher le processus suite à un accident cérébral, un mauvais déplacement de la main, une crampe de l’écrivain installée ou en cours… Il arrive aussi parfois qu’il faille changer de main scriptrice.

Il vaut mieux éviter d’aller jusqu’à la crampe. Elle s’annonce souvent par de brefs arrêts du geste, par des douleurs, une sensation de pénibilité.

Pour ceux qui seraient tentés par une formation à la rééducation d’écriture, le Cours Danièle Dumont, cours privé d’enseignement supérieur,  ouvre une session de formation chaque année.

Attention aux contrefaçons ! Elles existent et calquent sur mon enseignement une suite de recettes dispensées sous des appellations faisant éventuellement illusion. Pour ma part ma bio ici vous renseignera sur mon parcours.

Au sujet de la graphothérapie. Son nom oriente cette pratique vers une thérapie par l’écriture (comme la musicothérapie, thérapie par la musique), l’une aidant l’autre, la thérapie par l’écriture étant censée apporter un mieux être, elle débouche sur une amélioration de l’état psychologique de l’intéressé, donc, en principe, elle devrait déboucher sur une amélioration de l’écriture.

Le nom n’étant pas protégé, peut se dire graphothérapeute toute personne qui ” fait de la rééducation de l’écriture” sans prise en charge psychologique autorisée par des compétences spécifiques.

A mon avis, quelqu’un qui se dirait graphothérapeute sans une formation approfondie en graphologie et en psychologie serait en contradiction fâcheuse avec l’intitulé de sa profession.

Malheureusement mon excellente amie Florence Witkowski , fondatrice du groupement des graphothérapeutes, n’est plus là pour que nous en discutions et pour que nous échangions sur nos professions. Elle en déplorait les dérives. Elle  nous a quittés il y a quelques années à la suite d’une agression dont c’est le triste anniversaire ces jours-ci. J’avais pour elle beaucoup de respect, d’admiration et d’amitié.  Cet article m’est l’occasion de lui rendre un nouvel hommage, le premier ayant été fait, bien sûr, en son temps.

Florence était une grande dame.  Toujours ouverte et à l’écoute. Sans compromission. Nous avions des projets pour envisager un pont entre nos pratiques respectives. La vie en a décidé autrement.

Son livre “Psychopathologie et écriture” est un incontournable de la formation des graphologues. C’était une personnalité internationalement connue dans le monde de la graphologie.

 

Par |2019-02-22T14:49:37+01:003 octobre 2015|5 Commentaires

L’écriture des chiffres, l’écriture des nombres

Les chiffres sont aux nombres ce que les lettres sont aux mots. Les chiffres servent à écrire les nombres. Dans notre système numérique, nombres inférieurs à 10 n’utilisent qu’un chiffre.

Les chiffres affichés aux murs des classes , le sont en tant que tels pour que les élèves apprennent à les reconnaître puis à les écrire. Ils le sont très souvent aussi en tant qu’écriture d’un nombre ; ils sont assortis de dessins dont la quantité est conforme au nombre écrit.

Lorsque les posters ont été réalisés, celui des chiffres a été décidé à la fin. Il s’ensuit deux oublis : il ne figure pas sur la couverture, l’intitulé est incomplet il renvoie uniquement à l’écriture des chiffres. Il sera donc complété au prochain tirage pour devenir “les chiffres et la numération”.

Ce poster montre, en effet, que la suite des nombres correspond au précédent augmenté de 1. Cela se fait percevoir à l’enfant en cachant sur chaque illustration l’une après l’autre la dernière unité ajoutée : l’enfant voit clairement que  ce qui reste correspond exactement à la constellation représentant le nombre précédent. Au sujet du nombre 10, on peut faire remarquer qu’il s’écrit avec deux chiffres en comparaison avec les nombres précédents : le 1 correspondant à l’ensemble d’un groupe de 10 (les 10 doigts de la main), le 0 correspondant au fait qu’il n’y  a pas d’autre unité d’ajoutée ensuite.

Par |2019-02-22T14:48:22+01:001 octobre 2015|2 Commentaires

Conférences, cours et ateliers Année scolaire 2015/2016

Suite aux très nombreuses demandes de renseignements qui me sont faites sur les dates et lieux de mes formations, j’ai décidé cette année de publier mon calendrier. Ne figurent ici que les dates fermes.  D’autres dates sont pressenties en France métropolitaine et en Tunisie. Des dates sont à venir pour le Maroc.

N’hésitez pas à revenir pour vous tenir informé-e et à poser vos questions. Je vous répondrai soit sur le site soit en privé selon votre demande.

Pour les formations de l’année scolaire 2016/2017, c’est ici.

Pour vous inscrire,

– si vous êtes en école publique adressez-vous à votre circonscription,

– si vous êtes en école privée adressez-vous à votre chef d’établissement ou directement à Formiris/Formélie

– et si vous êtes un groupe informel d’enseignants contactez-moi directement j’étudierai la possibilité d’organiser un atelier ou une conférence (selon la salle disponible) au mieux de vos intérêts.

ANNÉE SCOLAIRE 2015/2016

SEPTEMBRE

Mercredi 23 septembre PARIS

Mercredi 30 septembre EVREUX

OCTOBRE

Mercredi 7 octobre MENDE

Mardi 13 octobre VEZERONCE

Mercredi 14 octobre L’ISLE D’ABEAU

Les 17 et 18 octobre + en cours du soir du 19 au 24 Cours de rééducation spécial écriture arabe

Du 19 au 24 octobre Cours de rééducation graphique session 2014/2015

NOVEMBRE

Mercredi 4 novembre WISSEMBOURG 

Mercredi 11 novembre férié

Mercredi 18 novembre MENDE

Lundi 23, mardi 24 novembre STRASBOURG

Mercredi 25 novembre WISSEMBOURG

Du vendredi 27 novembre au mardi 8 décembre                          10 conférences/formations sur l’île de LA RÉUNION

Vendredi 27 novembre BRAS PANON  16 h / 18 h

Samedi 28 novembre TAMPON  8 h 30 / 11 h 30

Lundi 30 novembre matin SAINT-DENIS  (équipes de circonscriptions)  9 h 11 h

Lundi 30 novembre  après-midi  SAINT-ANDRE  16 h / 18 h

DÉCEMBRE

Mardi 1er décembre LE PORT   15 h 45 : 17 h 45

Jeudi 3 décembre SAINT-PAUL  15 h 30 / 17 h 30

Vendredi 4 décembre  PIERREFONDS  13 h 30 / 16 h 30

Samedi 5 décembre SAINT-JOSEPH

Lundi 7 décembre SAINT-DENIS

Mardi 8 décembre SAINT-DENIS

Mercredi 9 décembre, retour en métropole

Mercredi 16 décembre L’ISLE D’ABEAU

JANVIER

Du mardi 12 au samedi 16 janvier LA MARSA (TUNISIE)

Mercredi 20 janvier PARIS

FÉVRIER

De préférence, les formations sont évitées en février.

MARS

Mercredi 2 mars LE MANS (72 100)

Mercredi 9, jeudi 10 et vendredi 11mars 47440 SAINT-ANDRÉ,  ILE DE LA RÉUNION

Mercredi 16, jeudi 17 et vendredi 18  mars SAINT-LOUIS, 97450, ILE DE LA RÉUNION

AVRIL

Samedi 2 avril SAINT-SEBASTIEN-SUR-LOIRE  (44 190)

Lundi 4 et mardi 5 avril LEGÉ  (44 650)

Mercredi 6 avril RUEIL MALMAISON 14 h 18 H (Centre Culturel l’Athénée,  2 avenue Alsace Lorraine RER A) Voir ici ou ici .

Du mercredi 13 avril à 14 h au mercredi 20 avril à 14 h Colloque annuel des rééducateurs et rééducatrices en écriture – Méthode Dumont

Lundi 25 avril AYDAT (63970)

MAI

Mercredi 18 mai  CONTRES sur LOIRE (41700)

Mercredi 25 mai CARCASSONNE (11 090)

JUIN

 

JUILLET

Dimanche 3, mardi 4, mercredi 5 juillet Agoras au congrès de l’AGEEM

Vendredi 8, samedi 9, dimanche 10, lundi 11 et au mardi 12 juillet Cours de rééducation graphique, session 2015/2016

Pour les cours de rééducation graphique, veuillez  adresser directement vos demandes à :

Cours de rééducation graphique Danièle DUMONT,  Cours privé d’enseignement supérieur à distance,                                                                           8 rue Ferdinand de Lesseps 21000 DIJON                                                           La session 2015/2016 commence au 15 octobre 2015.                               Les pré-inscriptions pour la session 2016/2017 seront prises à partir de février. Les réponses aux demandes seront envoyées fin mai ou début juin.

Attention aux contrefaçons qui commencent à sévir sur la toile et font des dégâts !

Par |2019-02-22T14:46:54+01:0026 septembre 2015|31 Commentaires

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