Le lecteur trouvera en lien la synthèse d’une formation que j’ai donnée en 2008 aux formateurs des enseignants de maternelle et d’élémentaire de l’académie de Reims (Inspecteurs, Inspectrices, Conseillers et Conseillères pédagogiques, maître formateurs et formatrices).

L’essentiel de la méthode reste valable mais j’ai revu depuis l’organisation des formes. Je peux dire actuellement qu’elles se répartissent en deux unités lesquelles ont pour forme de base la boucle et le rouleau.

Chaque forme de base a deux attributs : un lieu d’attaque et un degré d’arrondi. En modifiant l’un des attributs on obtient une forme dérivée.  Ainsi en changeant le degré d’arrondi de la boucle on obtient une étrécie. Cette nouvelle dénomination , qui remplace le mot coupe, rend mieux compte de la formation de cette dérivée : l’étrécie s’obtient en étrécissant la boucle.  En changeant son lieu d’attaque on obtient le rond.

De la même façon, en changeant le degré d’arrondi du rouleau on obtient le pont ; en changeant son lieu d’attaque on obtient le jambage bouclé.  Le jambage bouclé a lui-même une dérivée (dérivée secondaire) obtenue par étrécissement : le jambage bâtonné. >L-ecole_maternelle_de_demain – conference IEN-CP-2008