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L’enseignement du geste d’écriture de la maternelle à l’élémentaire : des obstacles, des préconisations

L’ENSEIGNEMENT DU GESTE D’ECRITURE DE LA MATERNELLE A L’ELEMENTAIRE :

DES OBSTACLES, DES PRECONISATIONS

CONFÉRENCE ET ATELIER OCTOBRE, NOVEMBRE 2010 CIRCONSCRIPTION DE LA GOUTTE D’OR

Cette formation à l’enseignement du geste d’écriture (conférence et atelier) a, entre autres, mis l’accent sur (suite…)

Par |2023-05-05T23:04:07+02:005 mai 2023|0 commentaire

DIX MINUTES PAR JOUR POUR COMPRENDRE LA FORMATION DES LETTRES – REPONSES AUX QUESTIONS DE LA LEÇON 2 – 2ème partie.

Objectif : Faire comprendre au lecteur la façon dont se forment les lettres pour un enseignement optimum de l’écriture cursive latine.

RÉPONSES AUX QUESTIONS DE LA LEÇON 2  (2ème partie) 

Au jour précédent, nous nous en sommes arrêté.e.s sur le relais de hockey afin de vous laisser le temps de prendre le recul nécessaire (suite…)

Par |2021-05-08T10:20:25+02:005 avril 2021|0 commentaire

1er trimestre de CP. Est-ce bien ou mal écrit ?

Est-ce bien ou mal écrit ?

Comme c’est bien écrit ! Voilà la réaction habituelle devant une telle écriture ou au premier trimestre du CP.

C’est vrai que l’enfant s’est appliqué. Il s’est appliqué à reproduire les lettres qui lui ont été données en modèle. Il s’est appliqué à bien tracer son écriture. A bien la dessiner. Pourtant cette écriture comporte de nombreux défauts. On pourrait passer outre et dire “cela s’arrangera avec le temps”. Malheureusement c’est l’inverse qui va se produire. Les anomalies plus ou moins masquées par l’application vont bousculer l’écriture dès qu’il s’agira d’accélérer le rythme.

Je remercie chaleureusement l’enseignante qui m’a autorisée à utiliser cette écriture. Je vous laisse la regarder et réfléchir et je reviens vers vous dans un instant pour la commenter.

Je vais continuer en bleu foncé pour différencier les étapes de la lecture.

L’une des toute premières choses qui va retenir notre attention, c’est le manque d’assurance du trait : le trait n’est pas très assuré ; on le voit bien sur les grandes boucles et sur le cabossage des lettres rondes. Le geste n’est donc pas automatisé – des quantités d’anomalies vont nous le confirmer. On a déjà un indice dans la différence entre la qualité du trait des formes de 1ère unité (celles qui passent par en bas pour aller de la gauche vers la droite, c’est à dire la boucle, l’étrécie et le rond) et celle des formes de deuxième unité (celles qui passent par en haut pour aller de la gauche vers la droite, c’est à dire le rouleau, le pont et les jambagesjambage bouclé et jambage bâtonné). Cette différence nous dit qu’il réussit mieux ce qui est renforcement de la contrainte – il faut faire un effort plus grand pour monter que pour descendre – alors que la maîtrise du geste d’écriture fluidifie l’écriture.

Redis sans les parenthèses et en raccourci : le trait n’est pas assuré donc le geste graphique n’est pas maîtrisé.

Vous me direz peut-être alors pourquoi s’embêter avec tous ces détails puisqu’une courte phrase suffit ?

C’est que ces observations permettent de supposer d’emblée que l’enfant n’a pas de problème de motricité, chose impossible à dire si on se contente d’un rapide coup d’œil pour “remplir une case”. 

Mais nous n’en avons pas fini avec la maîtrise du geste. On observe une instabilité de l’axe des lettres : les grandes boucles (lettres b et l) sont légèrement renversées de même que le a, le e et le r. Le u est vertical ; le n et le o inclinés. Il y a donc une instabilité de l’axe des lettres. Et là, compte tenu de la prédominance des renversements, il convient de s’interroger sur l’origine du problème. Cette instabilité des axes vient-elle du modèle ou de l’absence de maîtrise du geste d’écriture ou des deux ?
N’oublions pas que la définition du geste d’écriture, concept que j’ai créé il y a plus de 20 ans, englobe tous les processus qui interfèrent dans l’acte d’écriture. (Vous la trouvez en survolant l’expression).

Un coup d’œil sur le modèle (que je ne montrerai pas) dit que l’anomalie ne vient pas de là : ses lettres sont bien verticales. Le suivi d’un modèle aux lettres renversées aurait pu être l’origine du renversement. Ce n’est donc pas le cas.

Reste la tenue et/ou le maniement du crayon. Trait mal assuré, instabilité des axes. Il s’agit là très vraisemblablement d’un défaut de tenue du crayon : elle n’est pas ferme. Sans doute l’enseignante a-t-elle bien appris à l’enfant que le crayon se tient entre la pulpe du pouce et la dernière articulation du majeur et que l’index se pose sur le crayon. (Dernière phalange disent certains par erreur). Pulpe du pouce, dernière articulation du majeur, c’est bon, mais cela ne suffit pas. Pour que la prise soit solide, il faut lui en donner les moyens. 

Il faut donc qu’un point du pouce et un point du majeur entrent en contact en même temps avec le stylo pour le tenir (le pincer dit-on plus souvent? On pourrait dire aussi le prendre en étau). Pour cela je propose de faire deux points sur les doigts de l’enfant : un sur la pulpe du pouce, presque vers son extrémité (et pas sur le milieu), un sur la dernière articulation du majeur. Le crayon viendra se loger là et son corps reposera dans la commissure entre la base du pouce et celle de l’index.

Mais cela ne suffit toujours pas. L’enfant peut très bien tenir son crayon de cette façon (ce qui est tout à fait possible en ce qui concerne l’enfant dont nous parlons) et pourtant ne pas le tenir fermement ce qui semble certain pour cet enfant-là. Pourquoi ?

Voici donc l’histoire du mouchoir. Pour faciliter le positionnement des doigts afin d’assurer une bonne efficacité de la tenue du crayon, je propose de mettre dans la main une boule de coton à démaquiller sur laquelle on n’appuiera pas. Automatiquement, l’annulaire et l’auriculaire vont se placer derrière le majeur et si vous faites cela et que vous essayez d’appuyer avec le pouce contre l’articulation du majeur vous sentirez une forte résistance des trois doigts solidarisés. En revanche, si vous repliez ces deux doigts dans le creux de la main pour y maintenir un mouchoir finement plié, le majeur est seul à tenter de résister à l’appui de l’index. Le crayon s’en trouve en position instable à chaque mouvement des doigts.  Avec la pratique le crayon glissera plus ou moins sur la phalange. C’est alors sans importance pourvu qu’il reste contre l’articulation.

Voilà donc terminée cette première partie de l’observation. Nous y avons appris que l’enfant ne semble pas avoir de problème personnel de motricité fine et que sa prise de crayon demande vraisemblablement à être revue ce qui stabiliserait son trait et l’axe de ses lettres. Cela semble sans doute peu mais c’est énorme pour le confort d’écriture, l’accès à la fluidité du geste, donc aussi la confiance en soi.

Attention les explications données ici concerne cette écriture-là. Pour d’autres enfants les problèmes peuvent être autres.

Pour plus de détail je vous renvoie à l’édition 2016 de mon livre Le geste d’écriture Éditions Hatier et à cette vidéo

Pour la suite de mon cadeau de Noël, je vous dis à cette fin d’après-midi ou à ce soir.


Eh bien voilà, nous sommes jeudi soir, chose promise, chose due.

Voici donc la suite de l’observation qui vise à mettre en évidence et à expliquer ce qui pèche dans cette écriture afin de vous aider à éviter que ces anomalies se reproduisent. Revoilà ci-dessus l’écriture pour faciliter le suivi.

Ce qui frappe également très vite, c’est que le mot n’a pas son unité. On voit des lettres scrupuleusement tracées et scrupuleusement “attachées” les unes aux autres mais, hormis le o, aucune n’appelle la suivante : l’enfant écrit en attaché il n’écrit pas en cursive, il conçoit le mot comme une suite de lettres attachées les unes aux autres.

Comme son nom l’indique, l’écriture cursive court sur le papier, le passage d’une lettre à l’autre y est imperceptible. (CF. Le geste d’écriture, édition 2016 chapitres 6 et 7).

Ici on voit nettement que l’enfant a écrit u puis a écrit l. On peut couper le mot aux ciseaux entre u et l.
Y a-t-il une soudure ? Autrement dit le crayon aurait-t-il été levé entre les deux puis le l aurait été soudé à la finale du u ? Peu importe dans le cas de cette écriture. Ce qui importe, c’est que les lettres sont tracées pour elles-mêmes et non recodées pour s’intégrer à leur environnement (cf. Le geste d’écriture chapitre 6). La même anomalie est présente entre a et n, puis entre e et r avec en plus une double malformation du r (mais nous reviendrons sur les formes elles-mêmes plus tard).

Nous voyons donc clairement que l’enfant n’anticipe pas l’écriture du mot. Il l’écrit lettre à lettre. Si le mot était perçu comme un tout et non comme une suite de lettres, la fin du u et le début du l fusionneraient ce qui nécessiterait un léger recodage des deux. De même la fin du a et le début du n mais avec un recodage plus important pour assurer la fluidité du geste.

Une autre anomalie de ductus entrave la fluidité : la formation des lettres a et g. Les ronds sont attaqués par le dessus donc impossible de fermer le rond par une petite étrécie pour assurer la continuité du mouvement dans l’écriture du a (cf.voir cette vidéo et Le geste d’écriture page 106 et 122). De même impossible de recoder le rond pour enchaîner sur le début du jambage dans la lettre g.

On voit donc avec cette analyse du ductus à quel point il est important de montrer aux enfants le processus de création des formes et le processus de formation des lettres. (Le tableau figure à la fin du cahier 1 CP Apprentissage Éditions Hatier. Vous pouvez aussi en afficher le poster. Il est disponible chez le même éditeur).

Comprendre que la formation des lettres s’adapte à leur environnement donne à l’enfant la liberté d’ajuster son geste donc d’anticiper pour que le mot ait son unité donc que l’écriture soit fluide. L’intégration précoce de mots dans l’apprentissage d’une lettre facilite cet ajustement

Je m’arrêterai là pour ce soir

Que reste-t-il à voir dans cette écriture ?  Eh  bien, ce que l’on a l’habitude de voir en premier : la forme.

La forme des lettres répond à une définition. C’est cette définition qui en fait la lisibilité.  Elle doit donc être respectée au moment de l’apprentissage afin qu’elle puisse progressivement se personnaliser de façon pertinente, c’est à dire en préservant la lisibilité du texte.
Nous allons commencer par la dernière lettre du mot, la lettre r.

Un r est formé d’une attaque de grande boucle (comme si on voulait écrire un l), d’un pont et d’un début d’étrécie  cf. explications ici  ou dans Le geste d’écriture page 108). Ici il forme une sorte de rectangle planté droit dans l’interligne et qui aurait perdu l’un de ses côtés.  Son attaque rigide et verticale impose un arrêt après le e alors qu’il devrait s’enchaîner avec aisance.  Il se poursuit par un plateau légèrement concave au lieu d’un pont ce qui provoque un angle en haut à droite.  L’ensemble de son tracé gêne la fluidité de l’écriture.

Je reviens maintenant tout au début du mot avec la lettre b dont  l’oeilleton renvoie la finale tout en bas presque sur la ligne de base.  Un œilleton est une façon de négocier le passage d’une forme à une autre. Il tend à renvoyer le tracé vers le bas. Ici il ne s’impose pas : la lettre qui suit n’impose pas que la finale du b descende. Il est tellement injustifié que, dans la copie suivante du même mot, l’enfant le fait totalement disparaître le boulanger devient le loulanger (voir illustration ci-dessous)

Je poursuivrai avec une remarque sur la lettre e. Le e a des allures de e apraxique, c’est à dire avec une cassure au début. En réalité il n’est pas apraxique, il faudrait pour cela une cassure juste au niveau de la boucle (ce qui existe sur le modèle) et c’est mieux ainsi, cela évite de bloquer le mouvement.  On y voit poindre une belle intelligence graphique qui se trouve confirmée par les autres e de la page : ils ne sont pas apraxiques non plus alors que ceux du modèle le sont.

Je terminerai avec la lettre o qui tend vers une forme ovoïde comme si l’écriture s’impatientait d’être bloquée dans l’imperfection de sa maîtrise.  Tout comme le e, cette déformation laisse augurer d’une écriture de bonne qualité si l’enfant est bien pris en main pour réduire les anomalies que nous venons de voir ensemble.     

Nous voilà presque arrivés au terme de l’essentiel de ce qui peut être dit des anomalies de l’écriture de ce mot. 

Presque, car je voudrais en effet revenir sur l’absence de fluidité du geste. Si nous comparons ce mot avec le mot qui le suit sur la ligne nous voyons que le “dos bien droit” recherché dans le premier entrave la fluidité. Lorsque l’enfant se laisse aller à un geste plus naturel qui arrondit un peu les grandes boucles, une certaine fluidité commence à apparaître. Cela aussi, c’est de bon augure. 

J’espère que vous avez pris plaisir à la lecture de ce “cadeau de Noël”.

Je vous souhaite, chers lecteurs et lectrices, une excellente fin d’année.

Par |2020-04-05T21:41:12+02:005 décembre 2019|Commentaires fermés sur 1er trimestre de CP. Est-ce bien ou mal écrit ?

Des cahiers d’écriture pour la maison

La méthode d’écriture Danièle Dumont, présentée pour être pratiquée à la maison

Pour apprendre à écrire et s’entraîner à la maison.

 Apprendre à écrire, c’est d’abord l’affaire de l’école. L’enseignant est là pour ça. Il lui faut souvent bien du courage pour tenir bon la barre face aux vents et marrées qui agitent les médias et risquent de ternir son image.
Cela n’empêche que les apprentissages sont aussi l’affaire de la maison.  Vous êtes parents ; alors vous voulez le mieux pour votre enfant. Vouloir le mieux, passe aussi par prendre conscience que les apprentissages de l’école et ceux de la maison ne sont pas antinomiques, bien au contraire. (suite…)

Par |2020-06-01T15:38:06+02:0012 septembre 2018|8 Commentaires

Quel rapport avec la méthode Dumont ?

J’ai partagé ceci sur FaceBook   et j’y ai fait le commentaire suivant : “Je suis parfaitement d’accord ! Mesdames ne faites pas ça ! 
Comme vous me connaissez un peu vous avez dû voir le clin d’œil. 
Quel rapport avec la méthode Dumont ? Eh bien, oui, il y en a un. Mais je vous le dirai après vous avoir lu-e-s.”

Alors je vous ai lu-e-s. Les réponses ont été variées et toutes intéressantes. Il est temps que je donne ma réponse.
Pour celles qui en auraient besoin voici un lien vers une petite piqure de rappel   et un autre vers une présentation de la nouvelle édition.

Comme vous le savez, le geste d’écriture est un concept que j’ai créé il y a déjà de nombreuses années.  Il va du moment où l’on s’apprête à prendre la crayon jusqu’à celui où l’on écrit en produisant du sens.

Il inclut donc la réflexion.  Le chapitre 9 du Geste d’écriture est consacré au sens.  Vous y avez lu ou vous y lirez : pour que l’écrit fasse sens pour lui, l’enfant doit être amené à réfléchir avant d’écrire.

RÉFLÉCHIR est le maître mot de ma méthode. Pour qu’il y ait réellement écriture, il faut qu’il y ait préalablement réflexion. Réfléchir avant d’écrire. Réfléchir ne signifie pas chercher quelle est la bonne réponse à la question mais, au contraire, se poser la question “quelle est la question ?” , aller jusqu’au bout de sa réflexion pour pouvoir avancer une réponse motivée.

Lorsque j’ai commencé à lire le texte en question après avoir vu l’image, je commençais à bouillir un peu car je trouvais la réaction extrêmement exagérée. Et puis j’ai lu jusqu’à la fin et là j’ai été d’accord, comme tout le monde : on ne pose pas ses tongs sur la table du restaurant !  Ensuite j’ai lu les commentaires beaucoup  portaient sur l’allaitement. Or, de quoi parle le commentaire de présentation : des tongs, rien que des tongs.

Je remercie vivement celles et ceux qui se sont prêtés sur Facebook à mon petit jeu de devinettes. Il a été un petit peu biaisé car quelqu’un a très vite parlé des tongs, du coup les réactions épidermiques qui m’auraient amusées (ce n’est pas méchant) n’ont pas fusé.

Le point commun avec la méthode Dumont est qu’il faut toujours aller au bout de la réflexion avant d’écrire/ avant de réagir (par écrit en tout cas) et j’en profite pour ajouter toujours aller jusqu’au bout de sa réflexion pour valoriser les projets en transversalité.  Cf la réponse faite ce jour à une enseignante tout en bas de page ici .

Je voulais profiter de ce billet – car c’est plus un billet qu’un véritable article – pour attirer aussi votre attention sur une pétition qui circule sur la toile. J’en ai pris connaissance dans les pages d’un groupe FaceBook dédié aux enseignants. Elle était présentée par une enseignante, pour moi donc par quelqu’un qui est censé savoir de quoi il parle lorsqu’il parle d’un livre de lecture.  Cette pétition visait à faire interdire la diffusion de Bulle, livre de lecture pour CP.  Image à l’appui  elle interpellait le lecteur  : Partagez moi cette horreur que cela circule et remonte le plus haut possible ! Les images et les textes sont présentées de telle façon que,  à moins d’aimer le style Gore, on a du mal à rester indifférent.  Comme beaucoup je suis tombée dans le panneau.  Comme beaucoup je n’ai pas pu ajouter de commentaire de protestation sur la pétition car les commentaires ont été désactivés.  Si au lieu de me fier aux réactions de l’enseignante qui la présentait j’avais analysé plus finement la pétition je ne me serais sans doute (peut-être car le montage est fait de façon très astucieuse) pas laissé prendre par ce montage.
Donc approfondissons encore et toujours notre réflexion !

Par |2021-01-02T12:28:12+01:009 septembre 2018|2 Commentaires

Le geste d’écriture – Différenciation et transversalité.

 A l’heure de la mise en ligne de la liste des enseignants que j’ai formés au fil du temps à rééduquer l’écriture et, depuis peu, à enseigner à  leurs collègues ma méthode d’enseignement de l’écriture*, la présence sur mon site d’une brève présentation synthétique de la dernière édition du Geste d’écriture m’a semblé s’imposer.
La voici donc.

Présentation_édition-2016_Geste-d-ecriture

* Pour rappel, seuls ces formateurs-là ont été formés à cet enseignement. Leur site se reconnaît à la présence du logo Méthode Dumont, logo de la marque Dumont pour l’enseignement de l’écriture.

Par |2020-08-22T21:35:00+02:001 juillet 2018|0 commentaire

Il y a 10 ans – Synthèse d’une formation des formateurs de l’Éducation Nationale (Inspecteurs, Conseillers pédagogiques, Maître formateurs)

Pour ceux qui se demanderaient ce qui a changé ces dernières années dans ma méthode d’enseignement de l’écriture, voici la synthèse d’une formation que j’ai donnée il y a 10 ans déjà à Chalon-en-Champagne.

On y verra que tout y était. Le changement, ou plutôt l’évolution, réside dans l’approfondissement de la structuration de la forme des lettres avec une définition affinée des formes de base (qui se réduisent à deux) et une précision des phénomènes de dérivation qui permettent de comprendre comment on passe de deux formes de base à sept formes (suite…)

Par |2021-11-26T15:20:32+01:008 février 2018|2 Commentaires

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