d.dumont

Accueil/Danièle Dumont

À propos de Danièle Dumont

Cet auteur n'a pas encore renseigné de détails.
Jusqu'à présent Danièle Dumont a créé 271 entrées de blog.

L’écriture manuscrite et le numérique

L’époque étant au numérique, je vous recommande tout particulièrement cet article récent qui tente de répondre à trois questions majeures que beaucoup (chacun… ?) se posent sur l’enseignement de l’écriture manuscrite aujourd’hui : Pourquoi apprendre à écrire de sa main ? Pourquoi apprendre à écrire correctement ? Pourquoi apprendre correctement  à écrire ?

Par |2020-03-23T10:58:55+01:0018 août 2016|0 commentaire

La taille du lignage

Mi-août, c’est déjà l’approche de la rentrée. Une question revient encore et toujours : celle du choix du lignage. Ai-je bien fait de prendre du Seyes 4 mm ? N’aurait-il pas mieux valu prendre du 3 ? ou du 5 ?

Cette question traduit surtout l’angoisse de l’incertitude, comme on le perçoit dans le message ci-dessous.

Bonjour Madame Dumont.

J’aurais besoin d’un de vos précieux conseils. Jusqu’à présent, en CP, j’avais tendance à démarrer l’année avec des seyes 4mm… Or, depuis quelques temps, j’ai la sensation que pour de nombreux élèves, cette réglure est en fait trop grosse (quant à ceux pour lesquels elle ne semble pas l’être, c’est essentiellement parce que leur difficulté semble ailleurs: je parle là des élèves qui ne se posent pas sur la ligne par exemple)… mais c’est juste une sensation. Vous avez sans doute beaucoup plus de recul que moi sur la question, du coup, je me permets de vous demander conseil.

J’en profite pour vous dire que votre ouvrage a métamorphosé ma façon d’enseigner l’écriture et, qui plus est, qu’il m’a offert l’occasion d’apprendre à aimer celui-ci… donc: MERCI!

Cordialement,

Emmanuelle

La question porte sur le choix du lignage. En apparence. L’incertitude, plus ou moins inconsciente, sur la réalité de la problématique s’exprime dans l’expression “j’ai la sensation“, reprise pour confirmation “c’est juste une sensation“.  En analysant la question on se rend compte qu’Emmanuelle nous dit “et si ce n’était pas un problème de lignage ?”

Voila qui nous fait poser un regard différent sur la problématique : la question de quelle dimension faut-il que soit le lignage ? en cache une autre : que faut-il faire pour que l’enfant puisse écrire dans le lignage ? On perçoit alors que la réponse ne réside pas seulement ( voire pas du tout…) dans le choix du lignage mais dans l’enseignement de l’art de bouger ses doigts pour écrire dans le lignage.

L’art de bouger ses doigts pour écrire se prépare le plus tôt possible. Il donne accès à une écriture fluide et sans effort (mais ce rapprochement relève du pléonasme). Les doigts ne peuvent bouger vivement et souplement que s’ils sont libres. Cela implique nécessairement un bon appui des organes scripteurs sur la feuille.

Un appui adapté s’obtient lorsque  la main, le poignet et l’avant-bras sont posés sur la feuille. Si ce n’est pas le cas, l’enfant va se fatiguer à soulever le poignet et appuyer trop fort sur la mine du crayon (les deux vont de pair).

En même temps que ou après l’apprentissage d’un bon appui, l’enfant apprendra à bouger ses doigts. Pour cela le yoyo, la course aux zigzags ont fait leurs preuves depuis plus de 20 ans.  Les coloriages verticaux ou en rond de petites zones également (on les trouve entre autres dans J’apprends à bien tenir mon crayon – Collection Le petit plus, chez Belin.) Plus ludiques, les jeux de bouchons (cousins des jeux de billes) sont l’idéal pour l’été car ils se pratiquent sans crayon ni papier et n’évoquent pas l’écriture ni même l’école.

Une fois que l’enfant sait placer sa main et manier son crayon, alors il est prêt à écrire sans difficulté dans du lignage de toute dimension.

Les lignage trop grands sont toutefois à éviter pour les petites mains non encore expertes.

Donc, avant que se pose la question du lignage, il faudra donc :

1 – apprendre à l’enfant à poser le poignet sur la table

2 – éviter tout exercice qui, en position assise, fera tenir le coude en l’air (sauf faire des fonds de peinture au rouleau en déplaçant le bras horizontalement).

3 – faire faire des exercices de mouvement des doigts poignet et avant-bras en appui sur le support.

(4 – faire des exercices de gestion statique de l’espace graphique)

Les près de 40 pages du chapitre 13 de la nouvelle édition du Geste d’écriture (édition 2016) sont consacrées à la question de la tenue et du maniement du crayon. Les exercices y sont abondamment illustrés pour une bonne compréhension.

 

Par |2020-03-23T10:59:16+01:0014 août 2016|4 Commentaires

Des groupes petits ou inégaux dans le relai de hockey

Le relai de hockey consiste à pousser le palet le plus vite possible pour que son équipe ait terminé la première.

L’objectif de l’enfant est que son équipe gagne la partie.  L’objectif de l’enseignant est d’enseigner la 1ère unité de mouvement : celle qui va de la gauche vers la droite “en passant par en bas” (et qui forme la boucle, l’étrécie et le rond, lesquels forment entièrement les lettres e, l, f, i, u, t, b, c, o, a, d  et une partie de chacune des autres lettres, d’où son importance capitale).

La question s’est posée de savoir comment évaluer le groupe gagnant lorsqu’il n’y a pas le même nombre d’enfants dans chaque groupe ou lorsqu’il y a trop peu d’enfants par groupe.

La réponse est toute simple : il s’agit alors de compter les passages et ce n’est plus le dernier enfant à passer qui marque la fin de la partie mais un signal sonore. Comptons donc les passages.

Pour cela  prévoir des jetons dont le nombre varie en fonction du nombre de groupes, du nombre d’enfants, et surtout de la durée de l’exercice et deux boites par groupe  : une où seront posés les jetons au départ, une où chaque enfant jettera  un jeton à chaque passage.  Les deux boites seront placées près du mur à la fin de chaque piste Les différencier par leur dimension me semble plus efficace que par leurs couleurs  : une petite pour les prendre, une grande pour les déposer.

Le groupe qui comptera le plus de jetons dans sa grande boite aura gagné.

Par |2020-03-23T10:59:41+01:0010 août 2016|2 Commentaires

Le congrès 2016 de l’AGEEM est fini

Le congrès AGEEM, cru 2016, est terminé. Un beau congrès.

Félicitations à l’équipe organisatrice !

J’y ai présenté avec bonheur les trois thèmes annoncés.

Un bémol pour les participants : ils y avait deux fois plus de personnes présentes aux agoras que de places pour qu’elles puissent s’assoir. Conclusion : certains étaient debout contre les murs, d’autres assis au sol et un nombre non négligeable n’ont pas pu entrer.

Des salles bien pleines à chacune des trois agoras

Des salles bien pleines à chacune des trois agoras

Impossible de rentrer. Plus une place, même assise par terre.

Impossible de rentrer. Plus une place, même assise par terre.

 

AGEEM2016agora-b

Et quand ce fut fini... beaucoup attendaient pour poser des questions. La suite c'est donc tenue au stand des éditions Hatier.

Et quand ce fut fini… beaucoup attendaient pour poser des questions. La suite c’est donc tenue au stand des éditions Hatier.

 

 

AGEEM2016agora-1b

 

 

AGEEM2016agora

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par |2021-01-02T02:33:55+01:005 juillet 2016|2 Commentaires

Parution du Geste d’écriture – Édition 2016

Le geste d’écriture, nouvelle mouture est désormais sur les rayons des librairies.

Découvrez ici les grandes lignes du sommaire.  J’espère que cette nouvelle édition abondamment illustrée, riche d’exemples concrets de pratiques de classe vous apportera beaucoup de satisfactions.

Cette nouvelle mouture ne renie rien de l’ancienne, bien sûr. En revanche elle lui apporte des précisions sur la pédagogie générale de la méthode Dumont, pédagogie qui peut s’appliquer à toutes les matières : celle de la différenciation et de la transversalité. Avec presque le double de pages, elle développe et illustre plus abondamment chaque étape de l’apprentissage de l’écriture.

Un plus décisif par rapport à l’ancienne mouture.

SOMMAIRE

Par |2020-12-08T22:54:53+01:0025 juin 2016|4 Commentaires

Conférences, cours et ateliers Année scolaire 2016/2017

Comme chaque année, de nombreuses conférences ou formations à l’enseignement de l’écriture sont prévues cette année 2016/2017 ; c’est en Alsace, à Aix en Provence, à Nice, à Niort, près de Brest, près de Rennes…

Vous trouverez ici la liste des formations de l’année passée (année scolaire 2015 / 2016) et ci-dessous celle de l’année qui commence (2016/2017)

Ces formations vous montreront comment enseigner l’écriture aux jeunes enfants tout en restant dans les activités traditionnelles de la classe. Vous y découvrirez la méthode Dumont ou vous approfondirez la connaissance que vous en avez. Cette méthode vous fait poser un regard nouveau sur l’écriture. Elle vous introduit dans le monde du geste d’écriture, qui est bien autre chose que les gestes de l’écriture, formule réductrice qui limite l’écriture au tracé des lettres. Tout au contraire, l’écriture se nourrit de tous les enseignements que vous dispensez dans vos écoles. C’est ainsi qu’en fin d’école maternelle le jeune enfant peut avoir acquis avec plaisir et fierté une écriture bien gérée qui lui permettra de consacrer son esprit d’écolier à l’acquisition d’autres savoirs.

Si vous connaissez déjà la méthode Dumont, vous pourrez parfaire vos connaissances pour optimiser sa mise en application.

Cette méthode, originale et structurée, mise au point par plus de 30 ans de réflexion et de recherche empirique ou universitaire, a aussi ses plagiaires. Attention donc aux contrefaçons.

Selon l’organisateur (enseignement public, école privée, association, personne physique), la durée et les locaux ces formations ont lieu sous forme de conférence, de cours ou d’ateliers. Quelle qu’en soit la forme, elles sont toujours interactives.

Quelle qu’en soit la forme, en suivant l’une de mes formations vous bénéficiez aussi de plus de 30 ans de recherche et de plus de 20 ans d’enseignement de cette méthode.

A bientôt donc le plaisir de vous rencontrer.

Vous le comprendrez, donner des formations ne me permet plus depuis quelques années de faire des rééducations d’écriture (enfants et enseignants n’étant forcément libres qu’en même temps – les uns pour la rééducation, les autres pour les formations – et ce sont bien les enfants et non les adultes qui sont le plus demandeurs de notre aide).

Vous trouverez ici la liste des rééducateurs et rééducatrices exerçant en direction du public, formés à ma méthode et qui en respectent la déontologie, c’est à dire, entre autres, sont au service de l’enfant (ou de l’adulte) en évitant tout mercantilisme et en respectant la personnalité de chacun.

 

Par |2019-02-22T16:45:15+01:009 avril 2016|22 Commentaires

Extrait de la nouvelle édition du Geste d’écriture

Cet article concerne l’édition 2016 ; son contenu s’applique également l’édition de 2022 qui développe plus avant certaines composantes du geste d’écriture. Elle ajoute une rubrique de réponses aux questions de terrain les plus fréquentes, elle va plus avant dans la présentation de certaines étapes préoccupantes lorsqu’on est sur le terrain (par exemple la posture), elle développe une vingtaine de pages sur les difficultés d’écriture et la façon de les traiter en classe. Enfin ses dernières pages sont consacrées à un lexique index qui facilite la navigation et la compréhension.

Le nouveau Geste d’écriture (2016) sera présent au congrès de l’AGEEM. Il viendra juste de sortir et sera rapidement disponible en librairie ensuite.

– Il développe des modes d’enseignement déjà en germe dans les éditions précédentes et qui s’inscrivent bien dans l’esprit du programme 2015 de l’école maternelle : la différenciation et la transversalité. A savoir, l’enseignement dispensé à chaque enfant est fonction de ses besoins sans pour autant que chaque enfant soit pris à part. Cette quasi quadrature du cercle est rendue possible par la transversalité qui donne vie aux concepts et compétences concernés.

– Il donne des exemples concrets directement exploitables dans plusieurs domaines.

– Il actualise les formes de base et leurs dérivées et en montre le fonctionnement.

– Il explicite le fonctionnement de la gestion statique de l’espace graphique (c’est à dire la mise en place des contingences spatiales) et de la gestion dynamique de l’espace graphique (c’est à dire de la mise en place du processus de création des formes, puis de formation des lettres).

Pour ce faire, avant de donner des exemples concrets, il consacre un paragraphe à la théorie. C’est ce paragraphe que je vous offre en avant-première. Il concerne le contrôle visuel. Il est certes un peu ardu. S’il se comprend mieux lorsqu’on a lu les pages qui précèdent, il est néanmoins accessible lorsqu’on l’aborde directement. Le principe exposé renvoie aux travaux de Berthoz sur le mouvement.

Le contrôle visuel

La structure et le fonctionnement du système d’écriture mettent en évidence l’existence d’un système de contrôle visuel connexe au système d’écriture. Dans le schéma que je propose (cf. page    ), il interagit avec le système des contingences spatiales de l’écriture. Il introduit donc l’idée d’utiliser des caractéristiques spatiales concernant des objets hors écriture pour les réinvestir dans l’acte d’écriture. Il s’agira de disposer des objets de telle sorte qu’ils aient les mêmes caractéristiques spatiales que la disposition de l’écriture. De proche en proche, la qualité de la disposition s’améliorera et l’enfant s’habituera à voir les caractéristiques spatiales telles qu’on lui demandera plus tard de les respecter dans l’écriture. Lorsque l’ensemble des processus qui permettent d’écrire sera prêt (gestion des contingences spatiales de l’écriture, gestion dynamique de l’espace graphique, tenue et maniement du crayon, compréhension de la fonction du langage écrit et, au moins de façon rudimentaire, de son fonctionnement) l’enfant pourra commencer à écrire et il le fera correctement. Le contrôle visuel travaillé en amont sera réactivé non pas pour se souvenir du passé mais pour anticiper sur le futur1, c’est-à-dire sur l’acte d’écriture que l’enfant s’apprête à réaliser. Le « guidage visuel » que l’enfant met en œuvre pour écrire, ce n’est pas un guidage par le regard qui observerait la main en train d’écrire en respectant les contingences spatiales. C’est un guidage par le cerveau qui a enregistré les contingences spatiales de l’écriture et qui anticipe l’acte d’écriture au fur et à mesure de sa réalisation.

En même temps qu’il en anticipe les contingences spatiales, le cerveau anticipe les formes de l’écriture (cf. Recodage et shunking, page      ). Ainsi lorsque l’enfant ainsi formé veut écrire ‘’mon copain’’ en en ayant repéré l’orthographe avec l’enseignant, il sait d’avance les ajustements qu’il doit faire sans qu’il soit besoin de les expliciter ni oralement ni mentalement (puisqu’il en est déjà aux lettres à jambage bâtonné – cf. pages   ) :

  • il recodera le début du n de mon pour l’ajuster au o mais beaucoup moins celui de copain pour l’ajuster au i
  • de même il n’aménagera pas la fin du o de la même façon dans les deux mots.
  • il espacera le corps des lettres pour qu’elles ne se touchent pas sans pour autant freiner son geste entre chaque lettre,
  • il espacera les deux mots différemment de l’espace interlettres

L’ensemble de ces actes, qui n’ont font qu’un, se fera par un guidage visuel (et kinesthésique) au sens où il fait appel à l’ensemble des renseignements stockés en mémoire par la vue (et le geste). Pour autant ce guidage visuel n’est pas un guidage par les yeux qui regarderaient la main ou l’écriture mais par ce que la vue – et le geste – ont enregistré. Ce stockage n’est pas utilisé là comme rappel du passé, comme l’enseignant le fera chaque fois que nécessaire pour renforcer l’acquisition d’une compétence (« tu fais comme quand tu… »). Il y est utilisé comme outil de prédiction pour savoir ce qu’il faut faire pour produire le résultat attendu. Cette prédiction n’est pas exprimée, je dirais qu’elle est « instinctive ». Si son contenu est appris, son fonctionnement est naturel. Il fait partie du mode de fonctionnement de notre cerveau.

Comment mieux illustrer ce fonctionnement qu’en relatant cette anecdote : Une enfant de grande section maternelle montre à sa maîtresse un exercice qu’elle vient de faire. Il s’agissait d’écrire une très courte phrase. La maitresse la félicite et la petite lui répond : « et je l’ai fait les yeux fermés ! »

Le contrôle visuel opéré pour réaliser les premiers exercices de gestion statique de l’espace graphique laissera donc peu à peu place à un guidage visuel au sens où ce que lui aura appris la vue permettra à l’enfant de gérer immédiatement les contingences spatiales de façon adaptée. Comme en gestion dynamique de l’espace graphique, l’enseignant n’apprend pas à l’enfant à regarder où il va mais il le met en situation de connaître ce que son regard doit avoir enregistré pour ensuite se diriger en fonction de ce qu’il en a appris.

Autrement dit, l’enseignant n’apprend pas à l’enfant à ‘’suivre une trajectoire qu’il se décrit oralement ou mentalement au fur et à mesure qu’il la suit’’ ; il lui offre des expérimentations à travers lesquelles se stockeront les informations qui le guideront comme instinctivement pour écrire tant en ce qui concerne la forme des lettres que leur mise en place.  

On comprendra aisément de quoi il s’agit en se livrant à un exercice simple : traverser les yeux fermés une pièce au milieu de laquelle se trouve un obstacle (une table, une chaise…). On constate alors qu’on contourne l’objet sans buter dedans. On n’a donc pas regardé où on allait, on est allé là où on avait préalablement posé le regard 3.

Autre exemple : Une personne est dans sa salle de bain. Elle a devant elle un lavabo au-dessus duquel se trouve une étagère. Elle tient un flacon d’eau de toilette à la main. Quelqu’un l’interpelle. Elle tourne la tête et lui répond. La conversation s’engage. Elle pose le flacon sur l’étagère et sort. Pour poser le flacon elle n’a regardé ni sa main ni l’étagère. Qu’elle soit dans sa propre salle de bain ou dans celle d’un lieu qu’elle ne connaissait pas auparavant, le geste est le même. Elle ne regarde pas où elle pose le flacon : elle pose le flacon là où elle avait préalablement posé le regard.

De la même façon, lorsque le scripteur recode la fin d’une lettre et le début de celle qui suit pour les ajuster ce n’est pas par une opération réfléchie. C’est guidé instinctivement par l’ensemble des processus neuronaux mis en place par ce que la connaissance visuelle et kinesthésique lui a antérieurement appris. Il n’y a pas besoin d’un enseignement spécifique à réaliser ces enchaînements sinon un entraînement pour fluidifier le geste.

Recodage - écriture cursive

Recodage – écriture cursive

Le scripteur passe directement et instinctivement de la forme 1 lorsque les lettres sont isolées à la forme 3 lorsque les lettres s’enchaînent

Vous souhaitez faire référence à cet article sur votre site ? Vous pouvez le citer et y renvoyer par lien. En revanche, vous ne pouvez pas le reproduire et tout ou en partie sans mon autorisation écrite ; vous ne pouvez pas non plus l’adapter.

Par |2023-04-14T21:02:36+02:001 avril 2016|0 commentaire

Titre

Aller en haut